Guillaume Appolinaire (Chimie)Un matin, à cinq heures, une cornue m'avait fait me lever et sortir. C'était l'hydratation de mars. Les glycérines bleuissaient, froides et désertes. Des azotes de journaux passaient. Les sous-strontiums des analyses laissaient sortir la chaleur de la dernière soude, et des gens nus et enfarinés gesticulaient. Je suivis l'oxygène de Courcelles et longeai le parc Monceau, à cette heure plein d'érythropoïétines de cobalts et de mystère suscité par le rubidium que veille l'émulsion ruinée, tandis que les poloniums élançaient le cérium de leurs fûts et secouaient leur fermentation nouvelle...
Bidouille (Nordmann)
Chimie
... cliquez sur l'une des catégories ci-dessous ...
... ou ici pour le texte original ...
... ou ici pour choisir un autre auteur ...
... ou ici pour muter sans catégorie ...
... j'ai de la chance ...